Après avoir pris le test de la leçon antérieure, utilisez les objectifs de la leçon en question pour une révision. Puis, commencez l’étude de cette leçon.
► Lisez le Psaumes 119 :33-40, ensemble. Que nous dit ce passage sur la façon dont Dieu transforme un croyant ?
Lorsque Dieu se mit à se révéler, le but premier de cette révélation était de faire connaitre sa nature. Dieu s’est décrit principalement comme le Dieu saint. Le mot hébreu traduisant sainteté (kadosh) apparait plus de 600 fois dans l’Ancien Testament. Par exemple, Ésaïe faisait souvent référence à Dieu en tant que «le Saint d’Israël».
La sainteté de Dieu était le sujet d’adoration par excellence:
« Qu'on célèbre ton nom grand et redoutable! Il est saint! […] Exaltez l'Éternel, notre Dieu, Et prosternez-vous devant son marchepied! Il est saint! »[1]
La sainteté de Dieu est la base de ses exigences à l’homme. Puisqu'il est saint, il exige que ses adorateurs le soient aussi. Dieu a dit, « Parle à toute l'assemblée des enfants d'Israël, et tu leur diras: Soyez saints, car je suis saint, moi, l'Eternel, votre Dieu.»[2]
Le Dieu d'Israël était différent des faux dieux des païens, et il exigeait en conséquence une adoration bien différente.
« Qui pourra monter à la montagne de l'Eternel? Qui s'élèvera jusqu'à son lieu saint? -Celui qui a les mains innocentes et le cœur pur; Celui qui ne livre pas son âme au mensonge, et qui ne jure pas pour tromper. »[3]
La question qui se pose ici est : «De qui Dieu accepte-t-il l’adoration? » Apparemment, Dieu n’accepte pas n’importe qui comme son adorateur.
La sainteté à laquelle Dieu s’attend n’est pas juste cérémoniale ou apparente; c’est une sainteté authentique. Le standard de sainteté exigé des adorateurs de Dieu, est répété dans le Nouveau Testament : « Mais, puisque celui qui vous a appelés est saint, vous aussi soyez saints dans toute votre conduite, selon qu'il est écrit: Vous serez saints, car je suis saint. »[4] Est-ce pourquoi le terme « Conversion » est un mot qui se réfère au comportement, la conduite et à un style de vie parfait. Dieu ne demande pas seulement que ses adorateurs soient cérémoniellement saints ou qu’ils soient appelés saints alors qu’ils ne le sont pas en réalité. Il s’attend à ce que ses adorateurs aient une vie de sainteté.
Nous sommes sauvés par grâce, et Dieu nous accepte même lorsque nous péchons à cause du sacrifice de Jésus-Christ. Il nous accepte en tant que pécheurs, mais nous ne devons pas demeurer dans notre péché. Car le péché est une offense contre Dieu lui-même, et nous ne voulons que lui plaire.
► Quelles sont les raisons montrant que la sainteté et l’adoration sont étroitement liées?
La sainteté est liée à l’adoration parce que (1) nous aimons Dieu et nous voulons lui plaire.
Les exigences de Dieu ne nous surprennent pas si nous comprenons la vraie nature de l’adoration. Notre adoration n’est pas motivée par la peur. Nous n’adorons pas Dieu non plus parce qu’il nous bénit.
Adorer Dieu, c’est de témoigner qu’il est merveilleux, qu’il est l’être le plus majestueux qui existe. L’adoration consiste à vénérer Dieu pour ce qu’il est ; c’est le fait d’apprécier les caractéristiques de sa nature.
La nature de Dieu est principalement sainte. Donc, si nous adorons vraiment le Seigneur, nous haïrons le péché et l’impureté, même si nous les voyons en nous-mêmes. La sainteté est liée à l’adoration parce que (2) nous aimons Dieu et nous voulons Lui ressembler.
Avant notre rencontre avec Dieu, le péché était l’obstacle principal qui nous empêchait d’avoir une relation avec lui. C’est pourquoi notre relation avec Dieu ne peut pas débuter avant que nous soyons repentis et pardonnés.
Au moment où nous nous sommes réconciliés avec Dieu, nous sommes transformés. Spirituellement, nous sommes devenus de nouvelles créatures. Nous sommes délivrés de la puissance du péché, et nous désirons plaire à Dieu. La sainteté chrétienne commence dès qu’une personne se convertit au Seigneur.
La Bible nous enseigne que le salut mène immédiatement à une vie saine. « Car la grâce de Dieu, source de salut […]nous enseigne à renoncer à l'impiété et aux convoitises mondaines, et à vivre dans le siècle présent selon la sagesse, la justice et la piété. »[5] Le but du salut est de nous libérer du péché et de nous rendre saints, afin que nous vivions en relation avec Dieu.[6]
Plus notre relation avec Dieu se développe, plus nous continuons à grandir en sainteté et à comprendre sa vérité davantage. ‘’Marcher dans la lumière’’ signifie de continuer à obéir à Dieu à la lumière de sa vérité.[7] En comprenant mieux ce qui plait et déplait à Dieu, nous sommes transformés par sa vérité, et par la puissance du Saint-Esprit en nous. Ceci est un aspect de la croissance spirituelle.
Une personne qui aime Dieu désirera d’être totalement sainte. Elle ne veut pas changer seulement ses actions, elle veut aussi que Dieu soit le chef de ses motivations. Dans une prière, David demanda le pouvoir de vivre dans une complète victoire sur le péché, ensuite il priait pour que ses paroles et même la méditation de son cœur fassent plaisir à Dieu.[8]
Mais, il y a quelque chose d’autre dont les croyants ont besoin à coté du processus de la croissance dans la sainteté qui suit la conversion. Car le croyant prend conscience progressivement de l’impureté qui subsiste dans son cœur. Aucune croissance graduelle ne peut guérir ce mal intérieur. Même si les croyants ont été rachetés et vivent dans l’obéissance de Dieu, parfois ils ressentent le désir de retourner au péché.
La dépravation héréditaire est cette corruption morale de la nature humaine qui prédispose la personne à pécher dès la naissance. Parfois, les théologiens appellent cette dépravation « péché originel» parce que c’est la nature pécheresse innée de l’homme qui est causée par le péché d’Adam.
Chaque personne vient au monde avec une volonté égocentrique et inclinée vers le péché.[9] Nos volontés ne sont pas libres de choisir le bien à moins que Dieu ne nous en donne le désir et la force.[10] La dépravation originelle motive les péchés de l’âme tels que l’orgueil, l'envie, la haine et le refus de pardonner. Elle motive aussi les mauvaises actions.
► Celui qui s’est repenti, possède-t-il encore cette dépravation héréditaire?
Une personne sauvée n’est plus sous le contrôle de la dépravation héréditaire. Si c’était toujours le cas, elle vivrait dans le péché et ne serait pas sauvée. La Bible fait valoir qu’une personne qui est contrôlée par « un esprit charnel » est condamnée.[11] La personne sauvée n’est pas contrôlée par la dépravation héréditaire, elle peut vivre de victoire en victoire sur le péché par la puissance du Saint-Esprit.[12]
Mais, la dépravation héréditaire continue à exercer une forte influence sur le cœur du racheté, jusqu’à ce qu’il en soit lavé. Paul disait aux chrétiens de Corinthe qu’ils étaient encore ‘’charnels’’ et se comportaient comme des gens du monde, bien qu’ils avaient été rachetés.[13] Il impliquait même que cette situation était normale pour un nouveau croyant, car il affirmait que le fait d’être « charnel » pouvait être assimilé à la statut « d’un nourrisson en Christ. »
Le chrétien se trouvant dans cette situation aime Dieu, mais ne peut l’aimer de tout son cœur, de toute son âme, de tout son esprit, et de toute sa force. Il ne peut pas dire, comme Paul, qu’il a l’unique motif de suivre l’appel de Dieu.[14] Il sait que certaines méditations de son cœur ne sont pas acceptables pour Dieu.
Dieu ne nous a pas abandonnés dans cette situation. Depuis les temps anciens, il a fait une promesse au peuple d’Israël. Il a dit qu’il accomplirait un travail de grâce qui leur permettrait de l’aimer de tout leur cœur.[15]
David priait pour ce travail spécial de grâce qui s’étendait au-delà du pardon. Il tomba dans le péché, et réalisa que sa chute était due à un mal qui résidait dans son cœur. C’est pourquoi il a prié Dieu : « Je suis née dans l’iniquité […] mais tu veux que la vérité soit au fond de moi. » Il savait pertinemment que le péché faisait partie de sa nature, mais il était convaincu que Dieu exigeait de lui une complète sanctification. Donc, il s’est lancé dans la prière pour être purifié.[16]
Les croyants du Nouveau Testament étaient destinés à un autre événement spécial après la conversion. Les chrétiens du Thessalonique étaient des croyants exemplaires qui avaient acceptés l’Évangile, s’étaient détournés des idoles, enduraient la persécution, se réjouissaient dans le Saint-Esprit, et attendaient le retour de Jésus.[17] Pourtant, quelque chose manquait encore à leur foi. Ce manquement n’allait pas être comblé après un long processus ou à la mort, parce que Paul a dit qu’il pourrait être comblé avant même son arrivée chez eux lors de son passage.[18] Ils priaient pour qu’ils soient totalement saints (de corps, d’âme, et d’esprit) et qu’ils soient saints au retour du Christ.[19]
Les disciples de Jésus ont fait l’expérience d’une œuvre spéciale de grâce au jour de la Pentecôte. Nous savons qu’ils étaient déjà sauvés avant cette période, parce que Jésus disait qu’ils n’étaient pas du monde, et qu’ils appartenaient et à lui et au Père, et que leurs noms étaient écrits dans les cieux.[20] Ils ont déjà eu le Saint-Esprit[21], mais à la Pentecôte, le Saint-Esprit est descendu sur eux, et a accompli quelque chose de spécial avec eux. Pierre a dit plus loin, que la chose essentielle qui était arrivée, était l’Esprit purifiait leurs cœurs.[22] Ils avaient besoin en urgence de cette purification du cœur, bien qu’ils fussent déjà sauvés.[23]
Cet événement spécial qui se produit dans la vie d’une personne déjà sauvée peut être appelé «la sanctification intégrale.» celle-ci est la purification de la dépravation héréditaire, accomplie par le Saint-Esprit dans le croyant à une étape de la conversion.
Le croyant bénéficie de cette œuvre divine par la foi. Pierre disait que leurs cœurs étaient ‘’Purifiés par la foi.’’ L’apôtre Paul, après avoir prié pour la sanctification intégrale des croyants du Thessalonique, a déclaré: « Celui qui vous a appelés est fidèle, et c’est lui qui le fera.’’[24]
En résumé, nous disons que (1) la dépravation héréditaire demeure dans le croyant après sa conversion, (2) Dieu nous appelle à être complètement saints, (3) Dieu nous purifie de la dépravation héréditaire, et (4) le croyant bénéficie de la sanctification intégrale par la foi.
Chaque croyant doit permettre à Dieu de le lui montrer s’il a encore besoin de cette purification du cœur, ensuite prier Dieu avec foi pour qu’il le sanctifie complètement. Chaque pasteur doit prêcher et conseiller ses fidèles à marcher dans la grâce.
Un étudiant de la classe peut expliquer cette section d’information.
[6] Le but du salut est que nous servions Dieu en sainteté tous les jours (Luc 1 : 74-75). En tant que croyant, nous sommes morts au péché, et nous ne pouvons y continuer (Romains 6 :2, 11-16)
[25] « Et cette promesse illimitée, laquelle est le fil conducteur de toute l’Évangile à travers les âges déclarant : ‘‘Je mettrai mes lois dans leur esprit, et les écrirai dans leur cœur,’’ transforme tous les ordres en promesse ; incluant celui-ci: ‘‘Ayez en vous les sentiments de Jésus-Christ.’’ Cette instruction équivalant à une promesse, nous donne la raison d’espérer qu’elle accomplira en nous, ce qu’il exige de nous.»
- John Wesley, paraphrasé du sermon ‘‘La Perfection’’
Le baptême du Saint-Esprit
Jean Baptiste a prédit que Jésus baptiserait dans le Saint-Esprit (Matthieu 3:11, Marc 1:8, Luc 3:16, Jean 1:33). Jésus répétait cette prédiction et l’a liée à l’événement de la Pentecôte (Actes 1:5), pourtant dans Actes 2 l’expression utilisée est qu’ils étaient ‘’remplis du Saint-Esprit.’’
Le Saint-Esprit est parfois décrit comme «déversé» (Ésaïe 32:15, Joël 2:28-29), «répandu» (Actes 2:33), et «tomber sur» (Actes 11:15). Plusieurs termes similaires sont utilisés pour décrire l’évènement de la Pentecôte, mais ces termes ne se réfèrent pas toujours à une sanctification intégrale; ils peuvent faire référence à d’autres actions du Saint-Esprit dans la vie et le ministère de l’Église.[1] Toutefois, le terme baptême du Saint-Esprit semble se référer à un aspect spécifique de l’expérience d’une entière sanctification.
Le baptême initie la personne à un nouveau style de vie spirituelle et d’expérience. Les prosélytes, par exemple, étaient baptisés avant de devenir membres du Judaïsme. Les chrétiens baptisent les convertis désirant être membres de l’Église.
Certains pensent que tout événement mentionné comme «baptême» doit se produire à la conversion, puisque celle-ci marque le commencement. Il y a un événement qui se produit à la conversion, pouvant être appelé le baptême de l’Esprit (1 Corinthiens 12:13). Cependant, Jésus a ordonné aux disciples d’envisager le baptême d’esprit, même s’ils étaient déjà convertis.
Peut-il y avoir plus qu’un type de baptême? Éphésiens 4 :5 dit qu’il y a un seul baptême, mais le contexte montre que cela implique qu’il y a une seule Église. Chaque vrai croyant est baptisé dans la même Église, et est uni spirituellement à tous les autres croyants. Éphésiens 4 :5 dit qu’il y a une seule Église chrétienne, mais il n’insinue pas qu’il puisse y avoir plus qu’un type de baptême.
Jean Baptiste se référait à deux baptêmes (Mathieu 3:11). On ne peut pas dire que le premier était seulement le symbole du second, parce que les gens devaient démontrer la repentance avant le tout premier. Il semble évident, même après la conversion authentique et le baptême d’eau, qu’il va y avoir une expérience particulière avec le Saint-Esprit.
Le baptême du Saint-Esprit est un aspect du deuxième point culminant spirituel dans la vie du croyant, lorsque ce dernier est entièrement sanctifié et lavé de la dépravation héréditaire. Ce n’est pas le début de l’œuvre du Saint-Esprit dans la vie du croyant, mais celui d’un plus grand rôle. L’onction de la puissance pour le ministère s’ensuit, mais les dons spéciaux ne sont pas nécessairement une preuve de baptême du Saint-Esprit.
[1] Par exemple, dans Actes 4:31 il y avait d’autres onctions, pourtant les mêmes gens étaient impliqués. Dans Actes 4:8 et 13:19, les onctions étaient probablement une autorisation momentanée pour des défis immédiats. Il y a aussi une onction continue qui cause une vie spirituelle abondante. Dans Eph. 5:18, "Soyez remplis de l’esprit’’ est dans le temps Grec qui montre des actions en cours.
Le don des langues
Le don des langues n’est pas la preuve du baptême du Saint-Esprit.
(1) La Bible ne dit jamais que le don de parler en langue est une preuve en soi. À plusieurs reprises, des gens qui étaient remplis de l’Esprit, parlaient en langue. Ce don n’est pas toutefois une preuve suffisante pour identifier le baptême du Saint-Esprit.
(2) D’après les Saintes Écritures, il ne s’agit pas d’un don auquel tout le monde devrait s’attendre, mais il est une obligation pour que chaque croyant soit rempli du Saint-Esprit. C’est Dieu qui décide comment et à qui faut-il distribuer les dons (1 Corinthiens 12 : 4-11). Paul, en 1 Corinthiens 12, pose une série de questions rhétoriques qui ont logiquement pour réponse «non»; cela montre qu’aucun croyant ne doit s’attendre à un don spirituel particulier. (12 : 29-30).
(3) D’après les Saintes Écritures, une personne a des dons spirituels même avant le baptême de l’Esprit. Chaque croyant à l’Esprit de Dieu (Romains 8 : 9), par conséquent, il est capable d’être le récipient des dons spirituels. Les Chrétiens de Corinthe avaient encore besoin d’une purification du cœur, malgré le fait qu’ils excellaient dans les dons spirituels. (1 Corinthiens 1 :7, 3 :3).
(4) D’après les Saintes Écritures, le don des langues n’est pas un signe ayant pour but l’édification spirituelle des croyants ; il vise au contraire à communiquer l’Évangile aux non-croyants (1 Corinthiens 14 : 22). Utiliser le don de parler en langue comme la preuve qu’il n’est pas conduit à la déception et la confusion.
(5) Le don des langues n’a rien à voir au besoin que seule la plénitude de l’Esprit peut combler. Le but du baptême du Saint Esprit est de purifier le cœur de tout péché et de commissionner la personne pour le ministère. Quel rapport peut avoir ce but avec le don des langues dans les circonstances ou le don n’était pas nécessaire ? En effet seules les répercussions naturelles de ce don peuvent être considérées comme une preuve, à l’instar d’une ampoule qui brille quand elle traversée par l’énergie électrique.
On peut comparer cette expérience à ce qui arrive lors de la conversion d’une personne. On n’a pas besoin de se pencher sur les phénomènes tel que les langues comme une preuve du salut, car c’est une promesse de l’Ecriture, cela est arrivé par la foi. Le Saint-Esprit le confirme, et le croyant sait que son besoin a été comblé. Cette vérité demeure la même avec le baptême de l’Esprit.
► Que la classe entière lise la « confession de foi » au moins deux fois.
Confession de foi
La sainteté chrétienne commence dès que le pécheur se repent et qu’il est transformé par la grâce de Dieu. Plus la compréhension du croyant de la volonté de Dieu augmente, plus il grandit spirituellement et continue à obéir. La sanctification intégrale est l’œuvre de Dieu par laquelle, il purifie le croyant de la dépravation héréditaire après sa conversion.
Devoir
Que chaque étudiant choisisse l'un des textes bibliques ci-dessous. Avant le prochain cours, il devrait lire le passage et écrire un paragraphe au sujet de ce que le texte dit au sujet de cette leçon.
Actes 2:1-18
1 Thessaloniciens 5:14-24
Ésaïe 6:1-8
Tite 2:11-14
1 Corinthiens 10:1-13.
Il faut rappeler aux étudiants qu'ils ont à enseigner une leçon ou une partie d'une leçon à des personnes qui ne sont pas dans la classe au moins sept fois pendant ce cours. Les étudiants devraient faire un rapport au moniteur après chaque séance d’enseignement.
Questions à étudier
1. Quel est le thème principal de l’adoration?
2. Pourquoi la sanctification et l’adoration sont-elles liées?
3. Quand commence la sanctification chrétienne?
4. Que veut dire marcher dans la lumière?
5. Quelle était la requête de Paul pour les croyants de Thessalonique?
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